A quelques mois des élections, les conflits sociaux s’intensifient, menacent même de toucher tous les services sur une durée indéterminée. Décrédibilisé par les affaires de Lula et de Dilma Roussef, le parti des Travailleurs ne pèse plus et le gouvernement en place accélère la réforme de la sécurité sociale, la privatisation de l’enseignement, la vente des biens communs. Cette politique entraîne des mouvements contestataires croissants dans le pays.