Pour ne pas être dans le collimateur américain, PSA a décidé de se retirer d’Iran alors même qu’il venait de s’y réinstaller et avait beaucoup misé sur le développement de ce marché (1 milliard d’investissements prévus sur 5 ans). La place est donc laissée libre aux Chinois qui, même si leurs marques de voiture ne sont pour l’heure pas vraiment recherchées, occupent progressivement ce créneau à nouveau vacant.