Venus souvent de Guinée ou du Ghana, beaucoup de ces migrants disent vouloir aller en France ou en Belgique pour rejoindre de la famille. Comme souvent, les refuges de la région ont une capacité d’accueil insuffisante et, même si un réseau informel d’aide aux migrants s’est créé afin de leur fournir nourriture et vêtements ou pour mettre des douches à leur disposition, certains dorment dans la gare ou dans les rues.
La traversée de la frontière s’avère difficile, selon un communiqué du gouvernement basque publié dernièrement, un accord entre les autorités françaises et espagnoles permet de renvoyer tout migrant interpellé à la frontière ou se trouvant en France depuis moins de quatre heures. En effet, la loi prévoit que les personnes se trouvant sur le sol français depuis plus de quatre heures ont droit à un avocat, et le processus d’expulsion vers l’Espagne devient alors beaucoup plus long.
Depuis la fermeture de la route italienne, l’arrivée de migrants vers l’Espagne à triplé et La Commission européenne a annoncé une aide financière d’aide d’urgence supplémentaire pour les garde-frontières espagnols.