Le succès du PVT Australie ne faiblit pas ! En effet, sur la période de 2018-2019, ce sont quelque 24 413 jeunes Français qui ont obtenu un visa Working Holiday pour partir en Australie. Avec 5% de plus que sur la période précédente, c’est la troisième année consécutive que ce chiffre augmente pour nos ressortissants, qui deviennent ainsi les 2e PVTistes d’Australie après les Britanniques ! Autre nouvelle, les femmes sont plus nombreuses à choisir cette destination (55% des visas).
Pourquoi choisir le PVT Australie ? Déjà parce que ce pays n’impose pas de quota, et il est donc aisé d’obtenir ce visa. En plus, partir à l’autre bout du monde à la découverte d’une faune et d’une flore incroyables tout en consolidant ses connaissances linguistiques en anglais, cela en fait rêver plus d’un.e ! Mais attention, vous serez en concurrence avec des PVTistes venus du monde entier, il faudra donc bien travailler votre profil pour trouver un emploi.
Les conditions. Il faut avoir entre 18 et 35 ans pour pouvoir postuler, sa durée est d’un an renouvelable, à la condition d’avoir travaillé dans des régions et des secteurs particuliers durant au minimum 3 mois lors de son premier PVT. Il est renouvelable une troisième année à la condition que lors de leur deuxième PVT les jeunes aient passé au moins 179 jours dans les mêmes régions et les mêmes secteurs que ceux éligibles pour le deuxième PVT. Le prix du visa est de 485 $AU et il faut 5 000 $AU d’économies.
« Pourquoi l’Australie en particulier ? Parce que ça parle anglais et qu’il y a des cow-boys, des chercheurs d’or, des camions et du bush… Et parce que depuis plusieurs années, je parcourais pvtistes.net et que je commençais donc à avoir une petite idée de ce que je pourrais y faire…
Je ne savais pas trop ce que j’allais faire en Australie, mais j’ai débarqué dans une auberge de jeunesse où la plupart des gens cherchaient de façon active du travail. Alors je m’y suis mis aussi. Une amie qui bossait depuis plusieurs années à Perth m’a donné le nom d’une société de forage qui cherchait du monde. Alors j’ai pris mon CV et mes trois mots d’anglais sous le bras, et je suis allé au culot frapper à leur porte. Ils m’auraient bien pris, mais je n’avais pas le permis camion australien. Alors je leur ai répondu en substance « Pas de problème, je le passe et je reviens vous voir. »
Ça m’a pris un mois, mais le lendemain de l’examen de conduite je signais mon contrat comme aide-foreur, et je commençais trois jours plus tard. »