L’économie du pays est mise à mal : la Banque centrale a été obligée de prendre des mesures contre la pénurie de dollars. Et l’agences Moody’s envisage de dégrader la note de ce pays dont la dette dépasse 150 % du PIB. En outre, son déficit des paiements courants est le deuxième plus important du monde. De nouvelles règles sont adoptées pour faciliter l’obtention de dollars pour les importateurs de carburants, blé, ou médicaments. Une manifestation a dénoncé, dimanche à Beyrouth, la détérioration des conditions de vie des Libanais, fortement dégradées ces derniers mois.