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Actualités internationales

Alertes sécurité du 19 au 24 décembre, avec International SOS

Vous pouvez bénéficier, en exclusivité, des informations de notre partenaire International SOS, qui couvre pour la semaine du 19 au 24 décembre les événements nécessitant une vigilance accrue.

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Afrique

Côte D'ivoire

Côte d’Ivoire. Jours à venir. Probable candidat à la future élection présidentielle qui doit avoir lieu en octobre 2020, l’ancien Premier ministre Guillaume Soro a prévu de rentrer le 22 décembre prochain à Abidjan, la capitale économique ivoirienne, six mois après son départ du pays. Il y sera accueilli par ses sympathisants au sein de l’aéroport international Félix-Houphouët-Boigny.

Liberia. Jours à venir. Un autre retour sera suivi attentivement, cette fois dans ce pays voisin de la Côte d’Ivoire. Il s’agit de celui d’Henry Costa, animateur radio et critique politique, qui doit retrouver la capitale Monrovia ce 19 décembre. Alors qu’il est menacé d’arrestation, son retour sera significatif quant à l’ampleur des manifestations contre la corruption et le niveau de vie attendues le 30 décembre.

Région. Jours à venir. Le sud du continent est régulièrement touché par un essor des incidents criminels durant cette période de fin d’année. C’est le cas en Afrique du Sud compte tenu de la présence de nombreux visiteurs étrangers, mais aussi des déplacements des résidents sud-africains qui voyagent avec des liquidités ou des biens de valeur. On relève ainsi une recrudescence des vols à l’arraché dans des lieux tels que les rues commerçantes, les centres commerciaux ou de transport (gares, stations de bus, aéroports). Le retour au pays de travailleurs qui voyagent parfois avec des sommes importantes produit le même constat d’une hausse de la criminalité à cette période dans des pays de la région comme le Botswana, le Zimbabwe, la Zambie, ou encore l’Angola et la Namibie, même si le phénomène est ici moins marqué qu’en Afrique du Sud.

Afrique du Nord/Moyen-Orient

Election Algérie

Algérie. Jours à venir. La victoire d’Abdelmadjid Tebboune lors du scrutin présidentiel du 12 décembre dernier, avec 58,15% des suffrages selon les résultats préliminaires, devrait être officialisée très prochainement. Seuls 40% des électeurs s’étant déplacés aux urnes, le succès de cet ancien Premier ministre – proche du clan de l’ancien président Abdelaziz Bouteflika et soutenu par l’armée en la personne de l’influent général Ahmed Gaïd Salah – n’a pas apaisé les tensions. Près de quarante personnes ont d’ailleurs été blessées lors d’affrontements avec les forces de l’ordre le jour de l’élection. Dans ce contexte, de nouvelles manifestations sont prévisibles, notamment dans les villes de Bouira et Tizi-Ouzou (Grande Kabylie) ainsi qu’à Oran (nord-ouest du pays)

Israël. Jours à venir. Les festivités de la fête de Hanouka vont se dérouler entre le 22 et le 30 décembre. Dans ce cadre des incidents et de possibles attaques ciblées ne sont pas à exclure.

Libye. Jours à venir. La réouverture de l’aéroport de Mitiga (MJI) qui dessert Tripoli est effective depuis le 12 décembre dernier, trois mois après sa fermeture. Toutefois, la capitale libyenne est toujours le lieu d’affrontements entre les membres du Gouvernement d’union nationale (GNA) et ceux de l’Armée nationale libyenne (LNA) au sud, et le général Haftar (LNA) a annoncé une offensive sur Tripoli qui pourrait à nouveau toucher cet aéroport, point névralgique d’entrée et de sortie de la capitale.

Région. Jours à venir. L’instabilité politique qui prévaut actuellement au Liban incline à différer si possible tout déplacement non essentiel dans le pays. Il en va de même en Irak où il est conseillé d’ajourner jusqu’au 22 décembre les déplacements à Bagdad et dans la province de Dhi Qar, au sud-est du pays.

Amériques

Bolivie Crise

Bolivie. Jours à venir. Alors que l’ancien président déchu Evo Morales, réfugié en Argentine, dirige la campagne de son parti, le Mouvement vers le socialisme (MAS), les discussions relatives aux prochaines élections présidentielles sont toujours en cours.

Chili. Jours à venir. Le mouvement de contestation qui s’exprime au Chili devrait probablement perdurer jusqu’au printemps prochain, lorsque aura lieu le référendum pour une nouvelle constitution. En l’absence de réponses apportées aux attentes socio-économiques de la population chilienne, la popularité du président Sebastián Piñera reste en berne.

Colombie. Jours à venir. Le président Iván Duque est lui aussi sur la sellette en raison de ses choix économiques et sociaux. L’opposition à sa politique se manifeste particulièrement dans la capitale Bogota ainsi que dans les villes de Cali et Medellin.

Haïti. Jours à venir. L’instabilité chronique qui demeure en Haïti suppose d’y éviter tout déplacement non essentiel.

Asie-Pacifique

Hong Kong. Jours à venir. Plusieurs localités du territoire hongkongais sont concernées depuis le 17 et jusqu’au 19 décembre par la grève initiée par l’Union générale des travailleurs sociaux. La démarche s’inscrit dans un mouvement de contestation qui demeure pacifiste, mais avec toujours le risque d’affrontements avec les forces de l’ordre.

Europe

Donbass Georgie

Géorgie. Jours à venir. La question du nouveau système électoral reste sujette à caution en Géorgie, où le parti d’opposition Géorgie européenne a prévu un rassemblement devant le Parlement de la capitale Tbilissi le 19 décembre, ainsi que le 21 décembre à Zugdidi (à l’ouest du pays) et le 22 à Batumi (au sud-ouest, au bord de la mer Noire).

Ukraine. Jours à venir. Le conflit qui oppose la Russie et l’Ukraine dans la région du Donbass a fait l’objet d’engagements entre les deux parties suite au sommet « Normandie » qui s’est tenu à Paris le 9 décembre dernier. À ce titre, un cessez-le-feu permanent et un échange de prisonniers sont prévus en cette fin d’année. En revanche, la tenue d’élections dans les deux régions séparatistes de Donetsk et Louhansk reste une pierre d’achoppement. Du côté ukrainien, le président Volodymyr Zelensky est critiqué pour ses compromis et le risque d’une entrave à la souveraineté de son pays. De nombreux partis politiques, dont l’extrême droite et des groupes nationalistes locaux, continuent de se mobiliser face à ce qu’ils considèrent comme une « capitulation ».

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