Le secteur du luxe, qui contribue au rayonnement de l’image de la France dans le monde, offre des opportunités d’investissement dans des actifs tangibles à forte valeur intrinsèque. Leurs caractéristiques sont appréciées de longue date par les investisseurs institutionnels et deviennent de plus en plus prisées chez les particuliers.
L’hôtellerie particulièrement se taille une place une taille de choix dans ce secteur et constitue une solution de placement défensive, si certaines conditions sont respectées :
- Sélectionner des actifs composés des murs et des fonds dans des lieux primes où les grandes chaînes hôtelières sont absentes : Megève, Courchevel, St Barthélémy…etc. En effet, la rareté de ces lieux prestigieux associée à leur forte fréquentation touristique par une clientèle internationale permet une revalorisation du foncier et de l’exploitation commerciale.
- Ne pas recourir à l’endettement pour l’acquisition de ces actifs afin de maintenir le risque à son minimum. Ainsi, en cas de ralentissement ou de retournement de marché, la gestion ne sera pas menacée par la contrainte d’un remboursement de prêt.
Comment mettre en œuvre cette stratégie et à qui s’adresse-t-elle ?
Les particuliers ultra fortunés du monde entier investissent en direct ou via des club deals dans l’hôtellerie de luxe française depuis longtemps. Le groupe Crystal propose en avant-première une solution patrimoniale par le biais d’un fonds investissant dans des boutiques-hôtels de luxe pour des clients désireux d’investir dans un modèle compréhensible et transparent.
Ce fonds peut bénéficier également aux dirigeants et actionnaires devant réemployer une partie du produit de leur cession dans le cadre du régime de l’apport cession (150 0 B Ter). En effet, depuis le 1er janvier 2019, le champ du réinvestissement a été élargi aux souscriptions dans des fonds de capital investissement : FCPR, FPCI, SLP… mais les solutions proposées à l’heure actuelle sont très dynamiques, avec des niveaux d’endettement importants et des frais très élevés. Or, le chef d’entreprise qui vient de céder sa société souhaite une approche prudente de ce remploi économique, qui souvent représente l’aboutissement du travail de toute une vie et surtout le capital nécessaire à générer un complément de revenus pour la retraite. Le fonds étudié par le groupe Crystal permettrait de combler un manque de solutions défensives en la matière.