Enthousiaste, motivée et impatiente d’en découdre, telle est l’énergie dégagée par l’équipe de Meaux (France) lors de la conférence de presse autour de la 11e édition des Jeux internationaux de la jeunesse 2022 (JIJ 2022) mardi dernier.
Organisés en collaboration entre l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger (AEFE) et l’Union nationale du sport scolaire (UNSS), les deux directeurs, Olivier Brochet (AEFE) et Olivier Giraud (UNSS) se sont réjouis du retour des JIJ en présentiel après deux années à distance. «C’est un formidable moment de rencontre pour tous ces jeunes venus du monde entier», a ajouté Olivier Brochet.
Bruxelles a été choisie cette année pour accueillir ces JIJ. «Nous avons voulu, en cette année de présidence de l’Union européenne, permettre à tous ces jeunes de se retrouver dans la capitale de l’Union européenne et de découvrir cette belle ville», précise le directeur de l’AEFE. Le lycée français Jean-Monnet, en charge de l’organisation des JIJ 2022, sera le point de ralliement de ces Jeux.
Au total, 42 pays seront représentés avec 70 établissements engagés dont 53 du réseau d’enseignement français à l’étranger et 17 de France. C’est le plus gros événement du réseau AEFE. Certaines restrictions le nécessitant encore, 20 établissements seront en distanciel et 50 en présentiel, 420 athlètes et 150 jeunes organisateurs.
Pendant ces sept jours, les équipes composées de trois filles et trois garçons (condition de mixité fixée par le règlement) s’affronteront autour de sept épreuves :
- Badminton
- Course d’obstacles
- Course d’orientation
- Circuit training
- Laser Run
- Rallye culturel et artistique
- Rugby Flag
Quant aux activités à distance :
- Badminton
- Circuit training
- Course
- Rugby
Lors des JIJ, les jeunes ne sont pas seulement sollicités pour participer mais aussi pour organiser. Ils seront arbitres, jeunes reporters internationaux, organisateurs, coaches…
Un petit mot
Laurence Fischer, ambassadrice pour le sport au Ministère des Affaires étrangères
« Ces JIJ s’inscrivent parfaitement dans la dynamique prise par le Quai d’Orsay quant à la part du sport dans l’enseignement. »
Elodie Clouvel, vice-championne olympique en pentathlon moderne et marraine de cette édition
« Le plus important est de prendre du plaisir, moi aussi j’ai commencé par l’UNSS, C’est une super occasion pour s’ouvrir aux autres. »
Maxime Jeremiaz, quadruple champion paralympique en tennis et parrain de cette édition
« Je suis content que les jeunes prennent le pouvoir au sens soft du terme. C’est important de s’intéresser à ce qu’il se passe autour de nous. »