L’immigration au Canada est souvent associée aux grandes zones urbaines, au détriment des communautés rurales. Une brèche dans le système d’immigration du Canada qui s’explique notamment par le fait que dans ces zones « les services essentiels aux immigrants sont beaucoup moins développés et où de plus grandes distances géographiques entravent les efforts de soutien aux immigrants », ont déclaré les auteurs d’une récente étude parue dans Le Journal du Développement Rural et Communautaire.
Le programme pilote d’immigration dans les communautés rurales et du Nord est une initiative du gouvernement canadien pour faciliter l’accès à la résidence permanente au bénéfice des travailleurs étrangers qualifiés qui souhaitent vivre et travailler dans l’une des communautés participantes.
Elles sont onze au total :
- North Bay (Ontario)
- Sudbury (Ontario)
- Thunder Bay (Ontario)
- Timmins (Ontario)
- Sault Ste. Marie (Ontario)
- Brandon (Manitoba)
- Altona/Rhineland (Manitoba)
- Moose Jaw (Saskatchewan)
- Claresholm (Alberta)
- Vernon (C.-B.)
- West Kootenay (C.-B.)
Depuis le 30 avril dernier, les frais concernant les demandes de résidence permanente ont augmenté. Cette augmentation mise en place par l’IRCC (Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada) tient compte de l’inflation. Cet ajustement a lieu tous les deux ans depuis 2020.
La liste des anciens et nouveaux tarifs est disponible sur le site canada.ca.
Nous lancerons une nouvelle série de webconférences avec les participants du Programme pilote d’immigration dans les communautés rurales et du Nord. Le 6 mai nous vous proposons de découvrir la Ville du Grand #Sudbury en #Ontario. https://t.co/d0Ihg1LKTw pic.twitter.com/wvlCXWq7d5
— Destination Canada (@DestCan) April 25, 2022