Déjà présente sur le sol italien avec le TGV Inoui, la SNCF envisage d’exploiter davantage cette destination et prévoit apparemment le développement de 14 nouveaux tronçons. Il est donc planifié qu’à partir de 2026, des trains français partant de Paris ou Lyon relient Turin, Milan, Rome et Naples. Il semblerait que pour finaliser ce projet, l’entreprise française cherche à nouer un partenariat avec un acteur italien, ce qui permettrait d’accélérer certaines questions stratégiques…
Un autre objectif de la SNCF devrait rapidement être atteint, celui de faire en sorte que ses trains qui circulent en Italie puissent le faire à grande vitesse, ce qu’ils sont dans l’impossibilité de faire pour le moment, pour cause d’incompatibilité technique avec le système de rails italiens. La solution à ce problème est l’arrivée imminente du TGV-M, un train hyper connecté, avec un bilan carbone ultra compétitif et qui s’adapterait aux systèmes ferroviaire étrangers.
De son côté, la « concurrence » représentée par Trenitala, la compagnie ferroviaire italienne reliant Paris à Lyon (et certaines gares italiennes à partir de ces villes), a également l’ambition d’étendre davantage son offre de services dans l’hexagone. À suivre…