Les promesses de Dubaï
Les français sont parmi les 5 premiers pays à venir y investir. Khadija El Otmani est le partenaire de référence de la clientèle francophone souhaitant profiter du boum de l’immobilier dans l’Emirat.
La cité-état ne cesse d’évoluer. Les quartiers ne cessent de se dévolopper, les nouveaux programmes immobiliers affluent, tous promettent des prestations de luxe. Mais comment s’y retrouver quand on ne connaît pas un pays, son marché immobilier et qu’on souhaite investir ?
Spécialiste de l’investissement immobilier
Les promesses ne manquent pas dans un secteur où l’offre abonde. Khadija El Otmani a choisi d’accompagner sa clientèle dans la durée. Plutôt que de se donner l’objectif de vendre le plus de biens possibles, Khadija El Otmani cherche la satisfaction de ses clients sur le long terme.
Avec dix ans d’expérience à son actif, elle peut s’enorgueillir d’avoir fait gagner beaucoup d’argent à ceux qui lui ont fait confiance. Dès lors, le bouche-à-oreille bat son plein. Tous ses conseils s’étant avérés pertinents, elle peut se flatter d’aucune défection.
Pourquoi ? Parce que ses choix sont drastiques. Quand d’autres conseillent beaucoup des nouveaux programmes qui fleurissent ici ou là, elle n’hésite pas à s’abstenir en cas de moindre doute.
A Dubaï, personne n’est à l’abri de désillusion. Au bout de quelques années voire quelques mois, les appartements et les villas acquises peuvent se louer plus difficilement ou même, les reventes peuvent se réveler plus difficiles que prévues.
Grâce à son expérience mais aussi à son expertise sur le marché, Khadija El Otmani met tout en œuvre pour éviter ces écueils.
Une expérience de terrain
D’abord, elle a fait ses armes au sein d’une des agences immobilières les plus importantes de Dubaï.
Quand elle découvre Dubaï en 2008. la Burj Khalifa et la Palm Jumeirah sont encore en construction mais tout est alors possible pour une jeune femme dans les Emirats Arabes Unis, notamment concilier ambition professionnelle et vie familiale.
En 2014, l’essor de la location de vacances et l’insuffisance de l’offre la conduisent à créer une société proposant la prise en charge des appartements et maisons en location courte durée. Elle négocie un partenariat avec un homme d’affaire. Séduit par son projet, Abdullah Alajaji lui apporte son soutien. Driven Holiday Homes est lancé.
Khadija El Otmani fait alors ses premières armes auprès d’une clientèle exigeante. « J’ai appris à mettre en œuvre une haute qualité de service tout en proposant le produit immobilier parfaitement en phase avec la clientèle » explique-t-elle. Elle développe des services de conciergerie de luxe associée à des appartements et villas triés sur le volet.
Le développement de cette entreprise a amorcé ses relations avec les investisseurs sous l’angle de la gestion de biens. L’achat ne pouvant se concevoir qu’en vue de sa mise en location, Khadija El Otmani propose aux acquéreurs la solution leur permettant de rentabiliser leurs investissements et d’en disposer rapidement en cas de revente.
Sous son impulsion, Driven Holiday Homes prospère.
Une expertise de l’immobilier de luxe
En tant que française réputée pour sa sensibilité dans l’art de vivre, Khadija El Otmani se hisse rapidement sur les segments haut de gamme de l’immobilier. Son sens du service et le haut niveau d’exigence qu’elle développe la positionnent favorablement face à une clientèle d’européens CSP+ disposant d’un fort pouvoir d’achat.
Les budgets d’investissement de ces clients se situent pour la plupart entre 10 et 20 millions d’euros. Beaucoup de penthouses sur la Palm se vendent aux alentours de 15 millions d’euros. Mais les transactions peuvent dépasser ses montants, comme pour cette villa achetée à Jumeirah en 2022 à 30 millions d’euros.
En dix ans, les résultats sont à la hauteur des espérances. Des choix pertinents et une gestion rigoureuse ont permis de réaliser au profit de ses clients des millions de plus-values. Ces résultats s’expliquent certes par une croissance soutenu à Dubaï mais aussi par l’intransigeance et le flair de Khadija El Otmani.
Des résultats à la clef
Lorsqu’il y a quelques années, elle a conseillé d’investir sur cette langue de sable inhabitée qu’était Jumeirah Bay Island, personne n’y croyait vraiment mais elle avait vu juste.
Depuis, elle peut se flatter d’avoir fait gagner beaucoup d’argent à bon nombre de ses clients. Un exemple parmi d’autres, l’achat d’un grand appartement dans la Résidence Bulgari s’est avéré une bonne affaire. Ce bien de 5 chambres de 1300 m2, acquis sur plan a augmenté par 3 sa valeur initiale. Le client a investi 4,1 M d’euros (50 % du prix total de 8,2 M d’euros) et il s’est revendu 25 M d’euros.
Récemment encore, une de ses clientes achète un appartement en novembre et en 6 mois, le bien vaut 100 000 euros de plus.
Le conseil en investissement immobilier est devenu une expertise qui a fait sa réputation. Khadija El Otmani accompagne, conseille et gère le portefeuille d’une poignée de clients francophones fortunés.
« C’est une grande source de stress confie-t-elle car je n’ai pas le droit à l’erreur ». Son choix est de suivre sur le long terme ces quelques personnalités du monde des affaires, de la finance, du sport de haut niveau et de l’industrie. Sa satisfaction n’est pas de faire des records de vente mais de préserver un lien de confiance et de fidélité entre eux et elles.
Une offre rare sur les biens d’exception
Être capable de sélectionner les meilleurs produits immobiliers des Emirats Arabes Unis est déjà une expertise. Il faut connaître dans le détail les programmes immobiliers et savoir déjouer les pièges mais aussi être en mesure de recueillir les informations qui font la différence et qui ne sont pas partagés par tous. Malgré tout, cette offre immobilière, face à une clientèle internationale des plus exigeantes, peut s’avérer insuffisante. Les appartements et villas qui sortent du lot ne sont pas nombreux. Comment alors trouver ses produits qui donnent toute satisfaction ? Quand les promoteurs ne proposent pas ce que la clientèle demande, reste à créer les produits demandés.
La jeune femme s’est mise en quête de ses biens qui n’existent pas sur le marché et qui correspondent à une réelle demande. Un quartier a particulièrement retenu son attention, celui en bord de mer et proche du centre-ville. Elle a donc prospecté dans ses contacts les propriétaires de villas pour leur proposer un marché : « nous vous garantissons dix ans de loyer et en échange, vous nous accordez le droit de réhabiliter ses maisons pour les proposer à la location selon le standing recherché ». Ce pari risqué s’est avéré gagnant. Après un an de travaux, ces villas proches du littoral retrouvent une seconde jeunesse.
Renouveler l’offre – les villas de Jumeirah
Bordant la côte du golfe persique du Nord au Sud, les quartiers de Jumeirah et de Umm Suqeim sont idéalement situés. Entre Downtown et la Palm, ces zones urbaines à dominante résidentielle connues pour leurs cliniques spécialisées comportent quelques commerces, restaurants et hôtels, tout en étant à proximité des plus belles plages. On y trouve de petits immeubles ou de grandes maisons au charme suranné mais aussi des écoles et des crèches. L’ambiance y est agréable. On peut s’y promener à pied ou en vélo.
Khadija El Otmani n’a pas ménagé ses efforts et ses relations. Elle est ainsi parvenue à négocier un accord avec quelques propriétaires de ces villas. Aidé de ses partenaires, elle a lancé des programmes de rénovation couvrant aussi bien l’extérieur que l’intérieur de ses demeures. Une trentaine de propriétés ont été réhabilitées. La distribution et le plan ont été revus, les prestations et les équipements ont été optimisés, l’architecture intérieure a été totalement repensée. Certaines ouvertures ont été agrandies, des piscines ont été installées, les façades ravalées. Ses propriétés se sont métamorphosées en biens de grand standing, profitant de leur proximité avec les plages et Downtown ou la Marina.